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Affichage des articles du mai 13, 2017

"Nous entendons toujours des tirs réguliers et les corridors sont bloqués par les soldats", témoigne un habitant.

Au lendemain d'un nouveau mouvement de contestation dans les casernes ivoiriennes, la situation était revenue à la normale depuis vendredi soir à Abidjan. Des tirs en revanche toujours entendus samedi midi à Bouaké, de même à Daloa et Korhogo. Plus de vingt-quatre heures après le début de nouvelles mutineries, les mutins continuent à tirer dans l'air samedi 13 mai à Bouaké. Des soldats en colère bloquaient également les principaux axes de la deuxième ville du pays, ex-fief de l'ancienne rébellion. «Nos entendons toujours des tirs réguliers et les couloirs sont bloqués par les soldats. Beaucoup de magasins sont restés fermés aujourd'hui à cause de la situation », a témoigné un commerçant du centre-ville, joint par midi samedi midi. Selon un autre habitant joint samedi matin, «il y a beaucoup moins de circulation qu'hier, les corridors sont fermés pour le moment et sur le sens de l'autre à l'autre des tirs. L'activité est paralysée, il y a des barrag

"Les mutins qui ont braquer plusieurs véhicules d'Etat continuent de parader en ville''

[13-05-2017. 14h00] Les mutins ont durci le ton en fermant tous les couloirs de Bouaké. Aucun véhicule ne doit sortir ni entrer dans la ville. Bouaké: Des mutins ont attaqué des ex-combattants, ce samedi Ce matin aux environs de 11h, les mutins se déplaçant dans deux véhicules ont fait irruption dans le sourire des ex-combattants (cellule 39) et l'un d'eux à propos de l'important Youssouf Diawara, âgé de 49 ans , Marié et père de 5 enfants. Atteint de plusieurs balles au thorax et au bras, il a été évacué aux urgences chirurgicales du Centre hospitalier universitaire (Chu) de Bouaké. Où il a été pris immédiatement en charge par l'équipe médicale. Il faut dire que depuis le matin, les mutins ont durci le ton en fermant tous les couloirs de Bouaké. Aucun véhicule ne doit sortir ni entrer dans la ville. Des dizaines de véhicules sont bloqués à tous les couloirs. L'économie du pays se voit en place. Face à cette situation de blocage, le commandement militaire (3è r

Korhogo : Des insurgés tirent, des blessés signalés

La ville de Korhogo au nord de la Côte d'Ivoire s'est encore réveillée ce samedi 13 mai matin comme hier vendredi sous les crépites de coups de fusils, appris Politikafrique.info vers 11h 05 GMT (heure locale). Selon Ouattara Issouf dit 'El Diablo' 'le secrétaire exécutif national de la Cellule 39 (un groupement d'ex-combattants), conjointe au téléphone, les militaires insurgés qui y manifestent depuis la veille, tiennent toujours la ville. «Ce matin ils sont encore plus nerveux qu'hier. Ils occupent la ville et les chemins des corridors, rapporte-il. Il ajoute qu '«une manifestation de la population qui voulait crier son ras-le-bol contre les soulèvements militaires à été dispersée». A l'en croire, les tirs dans l'air des militaires ont fait deux bénis par balles perdues. Les démobilisés voulaient les affron (...)